Cette exposition de groupe explore la dynamique de la production artistique contemporaine et traite de travaux orientés sur le procédé, présentant une nature erratique. Les oeuvres mises en avant, soit laissent des traces physiques, soit se distinguent par leur disharmonie, leur caractère théâtral ou involontaire, afin de provoquer consciemment des brisures et des vides. Les différentes pratiques d’artistes comme Judith Hopf ou Nora Schultz font obstacle à la mise en place d’un contexte défini ou d’une narration concluante. En revanche, elles reflètent une trame de souvenirs et d’associations personnelles – tantôt fugitives, tantôt omniprésentes. Le titre de l’exposition est tiré d’une oeuvre de Judith Hopf et revêt un caractère programmatique: à un moment donné, il faut bien qu’il y ait une fin.
Avec: Michaela Eichwald, David Hammons, Judith Hopf, Fabian Marti, Ariane Müller, Jewyo Rhii, Nora Schultz et Anicka Yi